Escourregudo dei barrulaire e barrulairis à velò à Bouarmo-lei-mimóusa | |||
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Escourregudo dei barrulaire e barrulairis à velò à Bouarmo-lei-mimóusa dóu 13 de jun 2009 fin qu'au 20.
Bouarmo : vilajoun quiha à l'adret entre Iero e Sant-Troupés, emé si séuvo bouscarasso de mimóusa que sis aubre porton la meravihouso flous australo, coulour jauno auroro, que li dison « lou soulèu d'ivèr », e si cèuno espetaclouso, paradis dóu soulèu e de la mar. |
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Cèntre de vacanço «
La Manne
» à tres kiloumètre de Bouarmo, sus lou camin dóu fort de Bregançoun. Bagnadou, bar terrasso, tenis, terren de bocho, volo, blot d'oustalet emé chambro doublo, animacien en jornado e serado em' espetacle, e memo divèndre de sèr, balèti ! L'UCL a mes lou fue !... (vèire foutò ).
Lei quatorge participant n'en soun chala d'aquesto semano. Nanou e iéu erian à Bouarmo pèr l'obro d'oustau de moun fiéu au Gau Benat, leis avèn rejoun lou dilun, e touto la semano se sian espaceja e tauleja em'elei. |
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De matin bèu tèms pèr barrula, que lou tantost fasié tróup caud. Après lou rejounchoun, bon penequet. Escourregudo o ban, autant pèr lei ciclisto que pèr lei cinq fremo que barrulavon pas. Un sejour sèns auvàri e sèns fougnaire o fougnairis, pèr pas mai dire ?. Fin-finalo erian toui en coungousto de l'envirouno e la counvivialita d'aquesto semano. De chifra pèr tournamai n'aprouficha d'aquelo astrado !
Pèr lei ciclisto, coustat mar ( la Loundo-lei-Mauro, Carqueirano, Iero ) es subretout plan coumo lou clot de la man, daumàgi lei veituro à reverso mau-grat foueço pisto ciclabo, mai que soun souvènt entre-coupado pèr de vetoun de routo. |
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Au contro, l'endedins dóu peïs ( Pèire-fue, Colobrièro, Gounfaroun « ounte leis ai volon » ? ) en plen cor de la séuvo de suve dei Mauro, les séuvo de suve mieterrano apartènon à n-un patrimòni vegetau lei mai drud dóu mounde après leis Ando troupicalo, tambèn si castagnié, e pas gaire d'autò.
Sei còu : còu de Babaou ( 414 m ) toui lei ciclisto l'an escarlimpa coustat sud, mai lou còu de Nosto Damo deis Àngi ( còu dei Fourco , 535 m ) e la capello de Nosto Damo deis Àngi à 745 m d'autitudo, l'en-sus lou mai naut dei Mauro. | |||
Pèr cèu cin, se pòu vèire leis isclo d'Iero, la presquilo de Giens, la Corso. Bèuta imparaulablo dóu Var ! Fau lou vèire. E zóu mai ! còu de Babaou coustat de l'uba, erian que quatre voulountàri pèr susa dins aquestei còu ( vòuto de 88 km ),
Felipe
,
Gui
,
Jaque
, e iéu
Gastoun
, mai que chale amoundaut ! Espandidou meravihous ! Soun de plagno aquélei quand pas participa.
Gramacian leis ourganisaire, qu'élei, an susa de tèsto pèr ingimbra aquest sejour. Osco ! | |||
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Articulo de Gastoun Negrèu |
Excursion des rouleurs et rouleuses à bicyclette à Bormes-les-mimosas | |||
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Excursion des rouleurs et rouleuses à bicyclette à Bormes-les-mimosas du 13 au 20 juin 2009
Bormes : petit village perché au sud entre Hyères et Saint-Tropez, avec ses épaisses forêts de mimosas dont ses arbres portent la merveilleuse fleur australe, couleur jaune dorée, que l'on appelle « le soleil d'hiver », et ses plages spectaculaires, paradis du soleil et de la mer. |
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Centre de vacances
« La Manne »
à trois kilomètres de Bormes, sur la route du fort de Brégançon. Piscine, bar terrasse, tennis, terrains de boules, volley, blocs de petites maisons avec chambres doubles, animations en journée et soirée avec spectacle, et même vendredi soir, le bal ! L'UCL a mis le feu !... ( voir les photos ).
Les quatorze participants sont ravis de cette semaine. Nanou et moi nous étions à Bormes pour le travail à la maison de mon fils au Cap Bénat, nous les avons rejoint le lundi, et toute la semaine nous avons promené et pris les repas avec eux. |
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Le matin beau temps pour rouler, car l'après-midi il faisait trop chaud. Après le repas, bonne sieste. Excursion ou bain, aussi bien pour les cyclistes que pour les cinq femmes qui ne roulaient pas. Un séjour sans incident et sans boudeurs ou boudeuses, pour ne pas dire plus ?. Finalement on s'en est tous donner à cœur joie de l'ambiance et de la convivialité de cette semaine. A réfléchir pour profiter à nouveau de cette destinée !
Pour les cyclistes, côté mer (la Londe-les-Maures, Carqueirane, Hyères) c'est surtout plat comme la paume de la main, dommage la foison de voitures malgré beaucoup de pistes cyclables, car elles sont souvent entrecoupées par des tronçons de route. |
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Par contre, à l'intérieur du pays ( Pierrefeu, Collobrières, Gonfaron «où les ânes volent ?» en plein cœur de la forêt de chêne-liège des Maures, les forêts de chêne-liège méditerranéennes appartiennent à l'un des patrimoines végétaux les plus riches du monde après les Andes tropicales, aussi ses châtaigniers, et très peu de voitures.
Ses cols: col de Babaou (414 m) tous les cyclistes l'ont escaladé côté sud, mais le col de Notre Dame des Anges (col des Fourches , 535 m) et la chapelle de Notre Dame des Anges à 745 mètres d'altitude, le sommet le plus haut des Maures. | |||
Par temps très clair, on peut apercevoir les îles de Hyères, la presqu'île de Giens, la Corse. Beauté indescriptible du Var! Il faut le voir! Et de nouveau le col de Babaou côté nord, nous étions que quatre volontaires pour suer dans ces cols,
Philippe
,
Guy
,
Jacquy
et moi
Gaston
, mais quelle délectation la-haut ! Panorama merveilleux ! Ils sont à plaindre ceux qui n'ont pas participé.
Remercions les organisateurs, qui eux, ont sué de tête pour mettre sur pied ce séjour. Bravo ! | |||
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Article de Gaston Negrel |
Nous avons passé une SUPER SEMAINE à Bormes ! | |||
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Nous avons passé une SUPER SEMAINE à Bormes-les-Mimosas ! Et pas besoin d'aller bien loin pour se régaler...on est unanimes ! Avec en plus, un très beau temps, pas de pluie.
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A l'arrivée, nous avons cependant été déçus par les chambres : à peine 9 m2..salle de bains 3 m2. On était vraiment à l'étroit, mais avec un coin terrasse. Mais ça a été très vite compensé par la qualité des repas, la convivialité du lieu, et surtout l'équipe d'animation: ils nous ont fait passer des super soirées (dont une à mourir de rire car le directeur est un vrai humoriste !). Le parc est grand (11 hectares dans la pinède), on se réunissait avant chaque repas sur "la place du village". Animations "apéro", "café", spectacles, bref, tout ça, c'est un plus par rapport aux autres années. La piscine également. On était un peu plus de 300 je crois.
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Il y a beaucoup d'espace; il y a toujours quelque chose à faire; pour les dames qui ne faisaient pas de vélo, il y avait une navette qui pouvait les amener à la plage; il y avait aussi des randonnées ou des sorties organisées mais je crois qu'elles n'y sont pas allées. Par contre, pas d'accompagnateur à vélo mais on ne peut pas tout avoir; c'est pas un problème puisqu'on avait des itinéraires préparés et des cartes.(et pour les familles avec jeunes enfants, c'est le rêve : nurserie, garderie, ateliers pour enfants, ferme avec animaux : chèvre, cochon, poules dans un coin de la pinède : on était réveillés au chant du coq!!)
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Nous, on y était pour le vélo, et pour le vélo : des pistes cyclables côté mer, des routes tranquilles dès qu'on s'éloigne et plein de cols. Le Babaou n'a plus de secret pour nous , dans un sens et dans l'autre,le col de Gratteloup , de Cago ven , du Canadel , la route des crêtes...pour le groupe des forts, en plus, le col de Notre Dame des anges et des Fourches . Pour ma part, et c'est le cas de Paulette et Roger (et quand on pense à ce qu'il a passé !), nous avons fait 336 kms en 6 matins . Nous sommes sortis tous les jours, soit une moyenne de 56 kms par matin (c'est moins qu'en Italie) mais ici, avec un dénivelé non négligeable. On aurait cependant aimé pouvoir partir plus tôt mais le petit déjeuner n'était servi qu'à partir de 7h30 : on n'est pas arrivés à partir avant 8h. |
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La mer était à 23° , ça c'était pour l'après-midi, après la sieste... pas de crevaison mais 2 incidents : la chute de Michèle Pantanella le 1er jour, ce qui l'a mise au repos pendant 3 jours et celle de Philippe Conforti, sans gravité.
Bref, on est tous très contents, prêts pour repartir !!! On n'était pas nombreux, ça aurait pu intéresser davantage de monde, dommage! Dans tous les cas, cette formule "Club de vacances" est très agréable, et les non-cyclistes ont d'autant plus apprécié ! | |||
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Article de Martine et Michel Ollivier |
Les Feux de la Saint Jean à Aix-en-Provence | |||
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Cette année, on fêtait le Mardi 23 Juin le 15éme anniversaire des feux de la Saint Jean dans le respect de la tradition à Aix.
Cette manifestation est organisée et animée à Aix par le groupe des Farandoulaïre Sestian dont je fais également partie. Cette flamme que nous allons chercher à Arles arrive du Mont Canigou. Elle est acheminée par des cyclistes et des coureurs à pied pour être distribuée dans tout le pays Occitan et au delà dans toutes les villes principales du Sud de la France |
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Les villes et villages des alentours viennent ensuite par eux-mêmes chercher cette flamme pour allumer le soir leur propre bûcher – si toutefois le vent ne souffle pas trop fort.
Cette année, il y avait des coureurs à pied qui ont emmené cette flamme jusqu'à Gap. Evidemment, le feu à Gap a été allumé le soir suivant du 24 Juin. Depuis l'an passé, les cyclistes de l'UCL participent à cette manifestation en venant chercher cette flamme à Saint Cannat pour l'apporter à Aix en passant par Eguilles et Puyricard. | |||
Depuis Puyricard, les coureurs à pieds du Speedy Club de Puyricard et les cyclistes de l'UCL ont été escortés par deux motards et une voiture suiveuse de la police.
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Françis Mandine et moi-même avons accompagné et sécurisé nos cyclistes en les suivant dans nos voitures balais. | ||
A 21 heures précises, le groupe des vélos de l'UCL, les Farandoulaïres Sestian, les coureurs à pied du Speedy Club, et plus d'une centaine d'enfants des écoles se sont retrouvés autour de la place de la Rotonde dans une multitude de petites flammes. Danses et chants ont animé la soirée jusqu'à 22 heures 30.
A ce moment-là, le père Deplanche a béni la flamme après un discours en Provençal, et les personnalités ont fait trois fois le tour du bûcher avant de l'embraser. Tout le monde s'est retrouvé à danser outour du brasier qui nous réchauffait le cœur et le corps. Cette soirée s'est terminée très tard, tous contents de cette belle fête. | |||
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Article de Denise Cabassu |
J’avais lancé l’idée d’un départ de Luynes vers 10h30 devant la mairie pour aller voir les géants de la route. Une seule personne était là, mais quelle personne! Denise et son éternelle bonne humeur! Nous sommes donc parti à deux et ce fut pour moi un moment de pur bonheur car rouler avec Denise fait partie des instants privilégiés que réserve la pratique de la petite reine.
Nous avons failli ne pas assister au passage du tour car sur la route, Denise a crevé. Il a donc fallu réparer et, sans l’assistance d’un cycliste sympa qui a replacé la roue arrière, nous étions mal, car pour ma part, en matière de bricolage, j’ai les mains comme les pieds. |
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Cette péripétie passée, nous avons décidé de nous poster au passage à niveau avant le carrefour de Saint Pons. Nous étions en place à 11h45.
Une demi heure plus tard, la caravane publicitaire et son lot de cadeaux impressionnants a fait son apparition. Il faut savoir que cette structure se compose de 180 voitures regroupant 600 caravaniers. Elle s’étale sur 20 kilomètres de long, 40 marques sont représentées et le spectacle dure 45 minutes. Casquettes, portes-clefs, échantillons divers sont généreusement distribués sans oublier journaux et magazines. Les petits saucissons de Cochonou étaient excellents ainsi que les crakers Belin. |
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Seul manquait la mignonnette de 51. Mais l’on sait que la loi Evin interdit toute publicité sur l’alcool. Faute d’apéro, nous nous sommes rabattus sur l’eau plate que contenait nos bidons.
Ce fut ensuite un flot ininterrompu de voitures et de motos des annonceurs, de la presse écrite, des radios et des télévisions. Prés de 3000 véhicules composent la caravane du tour. |
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Le vent de face qui soufflait fit prendre du retard aux coureurs. C’est à 14 heures, soit prés de vingt minutes après l’horaire prévue, que les quatre baroudeurs du jour franchirent le passage à niveau, avec Samuel Dumoulin de l’équipe Cofidis qui menait le bal devant le néerlandais De Koort de l’équipe Skil Shimano, l’espagnol Perez-Moren de la formation Euskatel-Euzkadi et le français d’Agritubel et régional de l’étape Maxime Bouet qui habite Plan de Cuques.
Une avance qui n’allait pas s’avérer suffisante pour ces courageux, repris à 25 kilomètres du but et qui ne pouvaient empêcher le meilleur sprinter du monde, le britannique Marc Cavendish, de s’imposer à la Grande Motte 150 kilomètres plus loin de notre lieu d’observation. |
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Douze minutes plus tard, le peloton des cadors arrivait à son tour suivi du flot impressionnant de voitures des directeurs sportifs et, en fin de parcours, de la voiture balai.
Il ne restait plus qu’à reprendre la bicyclette pour rentrer tranquillement à la maison. Ce fut un bon moment et l’on peu dire que le tour est vraiment magique. C’est certainement le plus beau spectacle gratuit du monde qui, comme chaque année, devrait attirer plus de 10 millions de spectateurs sur le bord des routes de notre beau pays de France. |
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Encore un grand merci à Denise pour ses abricots, sa gentillesse, son sourire et sa générosité.
Photographies de Christian Greck, Gaston Négrel, Michel Cherrier |
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Article de Christian Greck |
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Article de Michel Cherrier |